• Jamais l'activité solaire n'a été aussi faible depuis 200 ans.

    Les technos et les émergents sous pression,

     Au sommaire :

    • Jamais l’activité solaire n’a été aussi faible,
    • Les technos et les émergents sous pression, 
    • le cycle mondial ralentit sauf aux US.

     

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  • Commentaires

    1
    Cosinus
    Samedi 8 Septembre 2018 à 17:39

     

    L’absence de taches solaires et des spots lumineux qui les accompagnent, est préoccupante, si elle devait perdurer. Elle peut se traduire par un tout petit abaissement de l’éclairement solaire, de l’ordre de 0,1%, c’est à dire 1 watt /m2, reçu par la terre, et 0,3 watt/m2 absorbé au niveau du sol. 

    Il faut le comparer à l’effet de serre dans l’atmosphère : 4W/m2 dont les trois quarts sont la vapeur d’eau. Le CO2 joue pour moins de 1W/m2. L’effet du CO2 anthropique 0,1W /m2 est autrement plus petit que la fluctuation des radiations solaires. 

    C’est donc bien le soleil qui va dicter la température de la Terre dans les 10 prochaines années (amplitude en degré) ,et non l’activité de l’homme (amplitude en dixième de degré) , L’action de l’homme fut-elle malheureuse, reste insignifiante à l’échelle de l’univers. 

    2
    Goodoff
    Samedi 8 Septembre 2018 à 18:11

     

    On pourrait penser qu’en achetant des obligations d’Etat, les banques commerciales américaines scient la branche sur laquelle elles sont assises. Elles abaissent artificiellement le taux du 10 ans et donc leurs gains potentiels sur les intérêts des prêts. En fait, elles ne prêtent pas à l’économie avec ces taux de référence. Le 10 ans devient un taux administré, de plus en plus loin des réalités de l’économie réelle. La construction immobilière aux US diminue fortement, faute de prêts.
    Les entreprise américaines sont moins dépendantes des prêts bancaires que les européennes. Les banques américaines agissent surtout sur la consommation par les taux courts, et sur l’immobilier par les taux indexés.

     

    Cependant le 10 ans reste prédominant sur les marchés dans les arbitrages des fonds de pension entre obligations et actions. En abaissant le taux, les banques commerciales contribuent à surévaluer de 10 à 20% les actifs obligataires et les actions. Le maintien des prix du pétrole à un niveau élevé, ou  les conséquences des droits de douane pourraient ramener le retour de l’inflation et donc une hausse des taux longs qui stopperait net les achats d’emprunts ; ce qui ferait chuter obligations et actions.  L’éclatement de la bulle des actifs surévalués n’est pas loin.

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    3
    Phoebe 75
    Lundi 10 Septembre 2018 à 12:30

     

    Si les banques commerciales achètent les dettes d'État américaines, elles se préparent à des pertes importantes avec la hausse inévitable des taux ? Je ne comprends pas pourquoi elles le font. Elles ne sont pas philanthropes !

     

    4
    Mardi 11 Septembre 2018 à 10:44

     

    Je réponds dans le bulletin de la semaine prochaine. Les banques ne suivent pas les mêmes règles que les autres acteurs économiques.

     

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