yep et merci.sur arté pluz le documentaire: nos collègues ,les robots.sa parle de l industrie 4.0.c'est malheureusement la société de demain .nos politiques au lieu de s assoire a une table avec le patronat,les syndicats,les penseurs et les écolo pour construire la nouvelle société de demain ne font strictement rien.l ancienne industrie de demain sera entièrement automatisé comme l usine de tesla.le problème sait que sa met tout le monde au chômage et qui est évalué a 53% dans tout les secteurs d'activité.cette évaluation a été faite par un cabinet d expert indépendant car la deutch bank  sait refusé a se sujet a donné des chiffres et refusé toute discutions a se sujet. si rien est fait le chômage continuera d augmenté dans les pays occidentaux et de facto le populisme.un problème se profile pour l industrie 4.0 :se sont les ressources naturel.soit on trouve une nouvelle énergie que le pétrole(je pense que les usa l ont et je l espére.) soit on réduit la population mondiale.c est mathématique a se niveau.

• • hemve31

    Samedi 17 Septembre 2016 à 11:16

     La France n’a pas de stratégie à long terme sur l’énergie, les transports…Les autres pays en ont une. Des fois une stratégie  idiote, mais ils en ont une. 

    La France a 6 millions de chômeurs. Les USA, UK, Allemagne, Japon, Suisse,…sont au plein emploi. En plus ce sont les pays qui ont le plus de robots. Chercher l’erreur. Les robots induisent beaucoup d’emploi de maintenance, emplois bien payés qui font des petits emplois.  

    On pourrait développer la moitié de l’humanité qui n’a accès à rien. Mais cela demande l’arrêt des conflits internes, beaucoup d’investissement et de capital, …et d’accepter qu’ils consomment une partie de l’énergie mondiale. Ce à quoi on se refuse (Cop 21 qui bride les pays en développement). L’écart ne fera donc qu’augmenter entre «  les possesseurs de robots », et « ceux qui n’ont pas accès à l’électricité ». Jusqu’ à la révolte ou l’immigration massive, ou la guerre.

Debut 2016 ,je me suis essayé, pour m'amuser , a quelques previsions pour l'année....affaire a suivre .. http://www.quiperdgagne.fr/previsions-et-predictions-pour-2016-revues-et-corrigees-par-les-assistantes-du-site

• • hemve31

    Samedi 17 Septembre 2016 à 11:20

     

    Ça c’est la prévision. J’espère qu’il y  aura en fin d’année une analyse du réel  2016, comparé à la prévision. Bravo pour la tenue du blog. il y en a si peu en France. L’économie intéresse peu les français.

  • Francis

    Lundi 19 Septembre 2016 à 18:46

    Merci pour le lien - sur les prévisions et sur le blog. Bel effort !

    Les illustrations me laissent néanmoins un peu dubitatif !

Merci pour votre billet hebdomadaire !

C'est vrai que ce contrat d'arme à l'Allemagne semble incroyable mais ce sujet est connu depuis quelques années car l'obligation d'avoir certain critère comme la taille de l'entreprise pour pouvoir prétendre à la fourniture avait condamné depuis belle lurette les fabricants Français , un manque de clairvoyance depuis une trentaine d'années sur ce problème comme bien d'autres ... d'un autre côté ce fusil est certainement le meilleur actuellement , il faut dire et beaucoup de pays l'ont adopté !

 

 

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C’est quand même étonnant qu’une télévision publique  puisse faire croire aujourd’hui que les robots ou l’automatisation des processus de fabrication puissent créer  du chômage, réduire le niveau de vie des gens. Jamais l’humanité n’a eu un tel niveau de vie. Jamais il n’y a eu aussi peu de gens qui meurent de faim. Jamais la population n’a été aussi bien soignée, Jamais on n’a eu un tiers de l’humanité dispensé de travailler le dernier tiers de sa vie, en profitant d’une retraite. Pour une raison simple,  les robots augmentent la productivité, et libèrent les ouvriers des taches fastidieuses.  

Il suffit de comparer la Chine et l’Afrique. 350 millions de chinois ont rejoint notre niveau de vie, avec des ateliers automatisés, pendant que l’Afrique décroche complétement et vit dans des cases, sans même la télévision, ni même sans eau. Pourquoi les immigrés veulent-ils alors venir en Europe, dans justement les pays qui ont le plus  de robots, et fuient la France, qui n’en veut pas ? Il devient urgent d’envoyer tous nos journalistes aux champs  ou dans les usines pour qu’ils comprennent la vraie vie, et qui contribue à leur salaire. D’abord a-t-on besoin de 7 chaines publiques d’information, toutes plus mauvaises les unes que les autres ?

 

L’augmentation récente du pouvoir d'achat de l’ensemble des Américains de 5 % est un phénomène qui est complètement passé sous silence en France, parce qu’on s'est fait confisqué le contre choc pétrolier, par le matraquage fiscal.

C'est vraiment un dilemme pour la Fed qui se retrouve devant une économie américaine florissante, sans excès ( 2%) grâce à la consommation intérieure, mais dont l’origine principal est bien le prix de l'essence à la pompe. Toute la question est de savoir si les prix du pétrole vont remonter rapidement où vont rester longtemps à ce niveau. Si les prix remontent, l'économie se rétracterait et la Fed aurait-elle encore moyen d’agir ?

On observe depuis 10 ans une corrélation très forte entre le prix du pétrole et les taux, comme le montre régulièrement Hemve. À cause des pays asiatiques qui achètent de la dette américaine en fonction de leurs excédents commerciaux suivant le prix du pétrole. Cet alignement des taux sur le prix du pétrole s'est toujours fait sans l'intervention des banques centrales. Les taux sont actuellement bas, parce que le prix du pétrole est bas.

Faut-il restreindre le crédit en augmentant les taux ? L’actuel niveau de consommation des Américains n'est pas lié au crédit, mais résulte bien d’une augmentation du pouvoir d'achat. Ces derniers cherchent plutôt à ce désendetter, Les taux courts sont déjà à 0,75 %. La hausse du taux de la Fed à 0,25% risque donc d’être sans effet. Pour pouvoir embrayer sur une action efficace, ultérieurement il serait préférable que la FED se rapproche des taux réels actuellement pratiqués, et mette fin aux taux administrés.

Elle démontre aujourd’hui qu’ elle a perdu beaucoup de pouvoir.

Pour ma part, je souhaite commercialiser un nouveau produit aux entreprises.

Sans robot, ce nouveau système coûte pour le fabriquer :  500 euro de matière et 70 heures de main d'oeuvre à 50 euro

Soit 4000 euro (et, je ne compte pas les autres frais de commercialisation,etc...).

Soit, l'industriel investi dans un robot pour diminuer le prix de revient et , on peut le fabriquer et l'assembler en France.

Ou alors, je fais comme mes autres confrères , je le fais fabriquer en chine pour le vendre à un prix abordable de 1500 à 2000 euro.

J'espère que l'industriel va investir dans un robot .

 

 

Eh oui, FST, j’ai eu exactement le même problème. J’avais développé, à une époque un prototype de produit, reconnu comme unique  au monde, de par ses performances, dans toutes les démonstrations à l’étranger. J’avais identifié le  prix d’acceptation du marché. Pour vendre il faut  que le cout de fabrication passe en dessous, donc faire des séries pour amortir les moules des coques, le logiciel …Sans  machines, et sans capital impossible de sortir le produit au prix demandé par le  marché. Les banques n’ont jamais voulu me prêter, parce que j’étais incapable de montrer les trois derniers bilans de mon entreprise qui démarrait tout juste !

 L'industrie 4.0  (la révolution numérique) est une chance pour les pays qui sauront la saisir. Elle diminue le gaspillage, réduit l'utilisation de l'énergie et des matières premières, et adapte la production aux besoins précis de la demande.

Elle permettra de diminuer le temps de travail, tout en augmentant la productivité et le nombre de commandes reçues avec une diminution des délais d'attente.

Évidemment les pays qui n'y croient pas, et les pays malthusien  (France, Espagne...) auront encore plus de chômage et sortiront totalement de la compétition mondiale. Reste à savoir dans quel camp on veut être.

C'est aussi une formidable chance pour le tiers de l'humanité laissé pour compte, car les ressources dégagées permettront d'assurer leur développement, tout en maintenant le niveau de vie actuel des pays développés.