• La guerre tarifaire n’a pas d’incidence sur l’économie US,

    La guerre tarifaire n’a pas d’incidence sur l’économie,

     

    Au sommaire :

    • La guerre tarifaire n’a pas d’incidence sur l’économie US,
    • Mais elle en a sur d'autres pays
    • Le 10 Y dépasse les 3%.

      

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  • Commentaires

    1
    Francis
    Samedi 22 Septembre 2018 à 12:04

    Merci encore pour votre analyse hebdomadaire que j'attends toujours avec impatience et que je lis avec intérêt...

    Pardonnez-moi, mais je trouve vos propos concernant le Brexit un peu sybillins : "Le Royaume uni n’est pas préparé à une barrière douanière, avec l’Europe. Il faudrait des années pour démanteler l’intégration du secteur manufacturierLa sortie de l’UE est prévue le 1 avril 2019."

    D'un côté on voit bien ce que vous voulez dire un peu elliptiquement : le Royaume Uni ne peut pas se permettre de quitter l'Union sans accord de sortie et sans période de transition. Mais il reste que la sortie est bien prévue précisément pour le 29 mars 2019 à 23:00, que le discours de T.May, hier, confirme que les discussions sont dans l'impasse, et que la livre sterling pique du nez. Balayer en deux phrases l'éventualité d'une absence d'accord me semble un peu audacieux (imprudent ?). Ah, et d'autres voix (Marc Roche par exemple) proposent un éclairage différent sur les perspectives offertes à long terme par le Brexit.

    Peut-être un prochain bulletin, après la conférence de Birmingham la semaine prochaine, pour faire un point plus complet sur la question ?

    2
    Samedi 22 Septembre 2018 à 22:48

     

    Désolé du caractère sibyllin du propos sur le Brexit. L’idée ébauchée est que le 1 er avril arrive sans accord. L’industrie du Royaume Uni est très intégrée dans le processus européen. Tout le monde, eux et nous, vont avoir un problème. Comment fabrique-t-on les ailes d’Airbus avec une monnaie fluctuante, et des droits de douane ? 

    Je suis obligé de sélectionner les sujets. Je voulais absolument finir cette semaine un papier sur "la dette mondiale de 250 000 Mds $ ", article qui sera publié la semaine prochaine. Je parlerais du Brexit quand on n'y verra plus clair. 

    De plus j'ai eu une semaine particulièrement chargée.

    3
    Lundi 24 Septembre 2018 à 11:41

    http://www.michelsanti.fr/?p=7660

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    4
    Mardi 25 Septembre 2018 à 21:54
    Les actionnaires sont ils les seuls à profiter des entreprises cotées ?
    Les rachats d’actions auraient ils dû servir à augmenter les salaires ..?

    Les salariés touchent 65% de la valeur ajoutée des entreprises cotées, l'état 20 % , et les actionnaires moins de 10%. L'état profite 2 fois plus que les investisseurs, sans prendre de risque. Les salariés 9 fois plus. Les actionnaires investissent 50 % de plus que les dividendes distribués. Ils mettent plus d’argent qu’ils n’en retirent. Arrêtons la distribution des dividendes, il n'y aura plus ni investissement , ni salariés.

    Le rachat d'actions répond aux lois fiscales imbéciles qui privilégient l'endettement au capital . Une entreprise paie moins d'impôt en s'endettant qu'en ayant du capital. Les actionnaires n'y gagnent rien. Les résultats n'augmentent pas, ni la valeur de l'entreprise, avec le rachat d'actions. Le résultat par action augmente , car il compense la baisse du nombre d'actions. L'entreprise ne s'est pas enrichie. Distribuer le capital aux salariés , alors que l'activité est florissante serait un non sens économique. Le capital doit servir à faire perdurer l'activité , en cas de difficulté.
    Lorsque les français auront compris le rôle du capital sur l'investissement et l'emploi, le chômage baissera. En attendant , ils dénigrent ce rôle et le chômage augmente.
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