• Le live en direct / L’impact des élections françaises.

    • Le live en direct    L’impact des élections françaises. 

     

    En fonction de l’actualité les événements en live. D'abord le résumé

      • Le résultat des élections du 1er tour : Macron (24,01%), Le Pen (21,3%) sont élus pour le 2e tour. Fillon obtient 20,01%, Mélenchon 19,58%
      •  Un 2e tour avec 55% des votants qui ne se reconnaissent dans aucun des deux candidats. Une élection qui clive au lieu de rassembler , et laisse beaucoup d'amertume.  

        Pour vous détendre, lisez SansMoiLe7Mai 

      • Les souverainistes dépassent 46% 

     Le live en direct /  L’impact des élections françaises.

     

    Mercredi 26   Trump annonce son plan de réduction fiscal, mais rien sur les capitaux rapatriés. WS reste de marbre, sans broncher. Ces capitaux pouvaient servir aux entreprises à racheter leurs propres actions, et faire monter les cours. 

    Mardi 25 : le plus spectaculaire est la sortie de l'euro de son canal baissier à 1,092 . $ et yen sont sur les supports. La hausse de l'euro coiffe toute velléité du Cac d'aller plus haut.

    WS ouvre en forte hausse, suite aux bons résultats  (Mac Do, Caterpillar..) le DOW +232pts, S&P500 +0,6%, le Nasdaq à 6000. Paris termine à +0,17% 

    9H  Paris en pause, WS retient son souffle avant la géopolitique, la Corée du Nord, et la réforme fiscale.  le pétrole se replie. Consolidation inévitable: le différentiel avec WS est trop fort...de 6% !! 

    Lundi 24, Un rallye mondial salue le maintien de la France dans la zone euro. les marchés sont soulagés sur le risque systémique de la soutenabilité de la dette française. L'euphorie de lundi devrait se calmer en fin de semaine. Il reste un 4e tour du 18 juin très incertain. La majorité législative ne sera pas forcément la majorité présidentielle. Ce sera aussi probablement le président élu, avec le moins de voix , et le premier président élu avec une majorité de français violemment opposée  à lui dès le début de son mandat

    Comment le CAC va t'il combler le gap de 200 points, dans les jours qui viennent ?

    Le MSCI, l'indice mondial a atteint son record absolu..., grâce à Macron

    22h WS cloture: Dow +216 pts, S&P 500 +1%, €+1,31%, le Vix descend à 10,9 de 4 pts; le spread OAT bund descend à 43pts

    17h 30 ,Paris clôture à 5268, +4,14%

    15h 30, ouverture de WS

    Wall Street salue les élections: le Dow 200pts, le S&P 500 1%, le 10 Y prend 6Pts à 2,30%

    Les banques européennes prennent 10% , GS et Citi 2 à 3% (normal pour l'élection d'un banquier)

     9h  La réaction des marchés :

      • Tokyo en hausse de 1,3%… chute du yen -2%, chute du $ -1%
      • Hausse des taux +8pts partout dans le monde; les investisseurs sortent des obligations,sauf l’OAT qui perd 8 pts
      • WS future +1%
      • Paris ouvre à +4 %

     

    Le rappel des précédents papiers :

     

     


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  • Commentaires

    1
    Lundi 24 Avril 2017 à 11:51

    Bien Vu les +5% ! 

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    2
    Louis
    Mercredi 26 Avril 2017 à 22:10

    Il est remarquable de constater que les grands partis politiques sont défavorables à la reconnaissance du Vote Blanc, à l’inverse des candidats indépendants ou des partis mineurs.

    Avec l’organisation de primaires des deux camps de la Droite et de la Gauche nous avons eu les émissaires des versions dures, comme si l’on voulait imposer aux Français un choix Politique préfabriqué.    

     Si Macron avait anticipé ce jeu, alors on doit lui reconnaitre une bonne stratégie.

    Mais maintenant imaginons que le Vote Blanc est reconnu.

    A notre second tour si réellement Macron n’est pas populaire, nous pouvions imaginer qu’au final le Vote Blanc deviendrait majoritaire. La réorganisation des élections avec de nouveaux participants avantagerait les deux grands partis dans des versions plus centrisme.

    Moralité :

    Ceux qui sont contre la reconnaissance du Vote Blanc ont à l’inverse tout à y gagner et ceux qui étaient Pour ont tout à y perdre !

    3
    Jeudi 27 Avril 2017 à 09:12

     

    Le 21 avril est surtout la démonstration que notre système électoral n’est plus adapté. Toutes les grandes démocraties ont un scrutin uninominal à un tour (UK, Allemagne, Japon.). Les candidats doivent se rassembler autour d’un programme commun de gouvernement. Les électeurs choisissent le meilleur.
    Chez nous les élus du 2 e tour, dans les primaires et dans le vote présidentiel sont intransigeants et veulent imposer leur programme, choisi par une faible minorité. On va dans le mur, avec un président élu qui aura deux tiers des lecteurs contre lui, dès son entrée en fonction. L’immobilisme du prochain quinquennat est assuré.

     

      • jackbenoit
        Jeudi 27 Avril 2017 à 09:38

        Bonjour ,

        ben oui le résultat c'est le meilleur qui règne et ceux qui ne veulent pas n'ont plus qu'à jouer l'abstention , seule possibilité aujourd'hui de montrer sa désapprobation , quoiqu'il en soit les prochaines élections de juin pourraient équilibrer le jeu bien que le manque de représentativité ait été toujours présente ...

    4
    Vendredi 28 Avril 2017 à 13:44

    La France, championne des impôts et des dépenses publiques

     

    Après son titre de championne d'Europe des impôts et des prélèvements obligatoires en 2016, la voici également championne des dépenses publiques !


    Le lundi 24 avril, le jour même où les Français se réveillaient groggy, tristes, désespérés ou étonnés, ravis, enthousiasmés par les résultats du premier tour de la présidentielle, c'est précisément ce 24 avril qui a été choisi par Eurostat pour publier un ensemble d'indicateurs sur les finances publiques des 28 États membres de l'Union européenne. L'autorité européenne de la statistique aurait-elle sélectionné cette date spéciale dans l'espoir d'en obtenir un écho particulier en France ? Eh bien, c'est raté ! Ce qu'Eurostat avait à nous dire était effectivement grave et important, mais s'est trouvé complètement escamoté par les comptes rendus de l'élection.

    Les experts d'Eurostat qui ont regardé au microscope les finances des États se sont aperçus que les dépenses publiques de la France avaient représenté 56,2 % de son PIB en 2016, ce qui la plaçait tout en haut du podium, numéro un des pays européens les plus dépensiers. Elle était précédée par la Finlande depuis 2014, sauf que les Finlandais ont réussi à réduire de 2 points de PIB leurs dépenses publiques pendant les années 2015 et 2016, tandis que la France de son côté n'a pu les réduire que de 0,2 et 0,9 point.

     

    Michel Sapin, un ministre jongleur de chiffres

     

    Et pourtant le duo Hollande-Sapin, avec son célèbre et incongru « Ça va mieux », semblait très content de lui à l'époque, alors que nous étions en train de reculer par rapport à nos voisins européens dont les efforts étaient manifestement plus efficients que les nôtres. Voilà comment on finit par se retrouver champions d'Europe des dépenses publiques pour l'année 2016 avec des dépenses représentant 8,5 points de PIB de plus que la moyenne de la zone euro. Même problème pour le déficit qui, chez nous, atteint encore 3,4 % du PIB, alors qu'il est de 1,5 % en moyenne chez nos voisins européens.

     

    Et comme en 2016 nous étions déjà champions d'Europe des impôts, taxes et prélèvements obligatoires avec 47,6 % du PIB, la France se trouve détenir aujourd'hui, et en même temps, les deux titres européens les pires, la marque d'une gestion indigne et irresponsable, l'exploit historique d'un président incompétent, François Hollande, et d'un ministre jongleur de chiffres, Michel Sapin, deux vieux complices depuis l'ENA, deux socialistes doctrinaires, imbus d'eux-mêmes au point d'en perdre toute lucidité.

     

    Un journaliste économique de L'Opinion, Raphaël Legendre, a fait le calcul que « pour revenir dans la moyenne de la zone euro, la France devrait ramener son déficit annuel de 76 à 33,5 milliards d'euros, réduire sa dette de 152 milliards et diminuer ses dépenses publiques de 190 milliards ». Un énorme différentiel ! Oublions Marine Le Pen qui vogue à des hauteurs de démagogie stratosphériques et notons simplement qu'Emmanuel Macron de son côté, dans son programme, reste très, très loin de ces chiffres.

     

    Le pire est que notre président « normal », notre bon roi fainéant, a trouvé le moyen, quelques jours avant ce lundi 24 avril, de déployer à nouveau son autosatisfaction légendaire en déclarant, imperturbable et cette fois-ci en plein soleil, ces mots incroyablement irresponsables et provocateurs : « Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j'ai trouvé. » On croit rêver ! Nous étions le jeudi 20 avril, trois jours avant le premier tour de l'élection, dans un village inconnu de la France profonde, Biars-sur-Cère dans le Lot, sur le parvis d'une usine du groupe Andros.

     

    Avec des produits comme Bonne Maman, Mamie Nova ou Pierrot Gourmand, cette belle entreprise agroalimentaire, fondée après la guerre par deux familles locales, les Gervoson et les Chapoulart, et dont le siège social n'a jamais bougé de Biars, est restée depuis lors entre les mains des familles fondatrices, qui en détiennent toujours 100 %. Ce groupe Andros, qui n'est pas coté en Bourse et ne publie pas ses comptes pour ne pas donner d'informations à ses concurrents, pèserait au moins 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires, détiendrait 23 filiales dans le monde, des usines dans une quinzaine de pays et emploierait plus de 7 000 salariés dont un bon millier dans le Lot.

     

    En recevant le président de la République sur le site historique d'Andros, le président de l'entreprise, Frédéric Gervoson, a fait œuvre sociale de cohabitation avec le monde politique et montré son respect envers les institutions de son pays. Il n'est pas sûr que le président de la France ait montré depuis son élection en 2012 le même respect et la même considération pour la société civile en général et les entrepreneurs en particulier, qui retiendront avant tout de son passage à l'Élysée ces deux titres de champion d'Europe des impôts, taxes et prélèvements obligatoires, et de champion d'Europe des dépenses publiques. Un dramatique doublé ! Un terrible bilan !

    5
    Francis
    Vendredi 28 Avril 2017 à 22:31

    Tout ce qui est excessif est insignifiant.

    6
    Samedi 29 Avril 2017 à 12:40

    Cet article est loin d'être excessif. 

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