• Les émergents étranglés par le pétrole et la restriction monétaire de la FED

    Les émergents étranglés par le pétrole et la restriction monétaire de la FED

    Au sommaire : 

    • Wall Street sur les plus hauts,
    • La balance commerciale US augmente son déficit,
    • Les émergents étranglés par le pétrole et la restriction monétaire de la FED

      

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    1
    sylvain 24
    Samedi 1er Septembre 2018 à 20:40

     

    Soupe à la grimace pour les retraités qui ont perdu 2 %  de pouvoir d’achat en 2018. Ils vont perdre de nouveau 2% en 2019 et aussi en 2020 avec une inflation de 2,3 % et une revalorisation de 0,3%.  

    C'est d'autant plus injuste que ces retraités ont souvent travaillé 40 annuités et plus de 45 heures par semaine, alors que les actifs d'aujourd'hui ne travaillent que 35 heures. Vu la durée hebdomadaire de travail, l'égalité entre générations demande d'augmenter l'âge de la retraite des actifs actuels, plutôt que de diminuer les retraites de leurs parents.

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    2
    Fred
    Dimanche 2 Septembre 2018 à 00:14
    Les retraités d hier ont bénéficié d une belle conjoncture pour assurer leur vieux jours. Ils possèdent un bon pouvoir d achat et son propriétaire. Aujourd'hui c'est chômage ou cdd en cdd . Le salarié doit continuer à maintenir leur niveau de vie.
    3
    Fst
    Dimanche 2 Septembre 2018 à 20:12

    Pour ma part, j'ai préféré l'époque ou je faisais 40 h en travaillant à l'ancienne , que de faire 35h00 dans les conditions actuels.

    Souvenez vous : La convivialité, le bon sens, la perruque (travail pour soi), l'alcool (trop d'ailleurs), etc...

    Maintenant : les contraintes, l'absurdité, les réunions (qui n'en finissent plus), l'américanisation de notre travail , Les EPI avec le port (depuis peu) des lunettes obligatoires (même s'il elle te font mal à la tête...).

     

    4
    Jackbenoit
    Lundi 3 Septembre 2018 à 17:02

    Et bien oui , la majorité de la population commence a se rendre compte que la politique actuelle de redistribution de l'argent aux gros contribuables (les riches) , lobbying à outrance pour des lois plus adaptés se fera à leur détriment . Inflation ( très visible sur le pétrole et les produits alimentaires), taxes et impôts divers( CSG, amendes radar 80kmh, etc.. ), diminution des services publics entraînant des frais supplémentaires souvent importants , le citoyen qui est en dessous du médian(1700€ environ) devient l'esclave des plus riches( eux n'ont pas ce problème et de nos dirigeants qui planent avec l'argent public, on le voit dans certains propos ...).

    Le lobbying des chasseurs qui a obtenu la baisse de 50% sur le permis est un bon exemple de cette dérive , on continue de distribuer le glyphosate .... rien ne change pour les plus aisés  contrairement aux autres qui voient leur périmètre d'action se resserrer .

    Le SMIC ou salaire des pauvres reste en-dessous des 10€ brut , sachant que la majorité des emplois comme les aides à domicile perçoivent moins de 1000€ net et ils ne sont pas les seuls.

    Le gouvernement des riches ( la plupart des élus de droite approuvent ces mesures , il faut dire qu'on a un troupeau de droite qui en fait partie) )  continue sa stratégie de laminage des pauvres ( il faut dire pauvre quand on a impossibilité à boucler son budget  tous les mois)   tant qu'on le laissera faire ...

    L'ouverture depuis plus de 40 ans des frontières et la mise en concurrence avec des pays à bas salaire sans contre partie  sont les causes de nos maux ( endettement , chômage , faibles revenus  etc ) , l'augmentation du nombre de pauvres devient visible dans la vie courante même sans regarder les statistiques ... les riches accaparent la majorité des revenus il faut le dire ! Est-ce normal ?

     

    5
    Robert
    Mardi 4 Septembre 2018 à 11:54

    Encore merci a Hervé pour ses excellents articles.

    pour les retraites, il faut s'en tenir aux chiffres et uniquement aux chiffres, et ils sont parlants.

    pour un cadre  du privé dans la tranche B (salaire brut supérieur au plafond de la sécurité sociale et inférieur à 4 fois ce plafond)

    la cotisation retraite est grosso modo de 22.783%  du salaire.Après 42 ans de travail,  il aura cotisé, au mieux,  10 ans de son salaire annuel moyen.

    s'il vit 25 ans en retraite, il touchera, au maximum,  25 ans d'a peu 45% de son dernier salaire, soit 11.25  de salaire annuel

    on peut estimer que c'est a peu près équilibré.(car il faut rajouter les  cotisation patronales)

     

    Pour le cadre fonctionnaire ayant le même salaire , il touchera 25 ans de 70% de son dernier salaire (au pire), soit 17.5 ans de salaire annuel. Donc un déficit de 7.5 ans de salaire ,

    D’après le COR ( Conseil d’orientation des retraites), les cotisations salariales et celles de l’Etat employeur ne permettent de financer que 25% des retraites des fonctionnaires. Un chiffre ahurissant quand on le compare au régime privé, où les cotisations des salariés représentent 82,9% du financement des pensions de retraite.

    L’ Etat (c a dire la dette publique) et le contribuable  financent  ainsi les retraites de la Fonction publique à hauteur de 73%.

    Il faut savoir  qu'en plus de la dette "officielle" de 2318 milliards d'euros, les engagements hors bilan de l'Etat s'élèvent à 2500 milliards d'euros, dont personne ne souffle mot, et pour cause !

    6
    Jeudi 6 Septembre 2018 à 09:46

     

    C’est parfaitement exact. Mais il faut préciser une différence importante entre les US et la France : les américains ont provisionné les retraites de leurs fonctionnaires. S’ils ont une dette publique au même niveau que nous ; leurs fonds de retraite représentent 83% du PIB !

     

    7
    Vendredi 7 Septembre 2018 à 22:46

     

    Finalement, Macron a compris ou admis, le 5 septembre, que le prélèvement à la source, en ponctionnant les salaires, sans tenir compte, des crédits d’impôt dans le calcul du taux, pénaliserait 3 millions de français de plus de 5 milliards ; ce qui abaisserait une fois de plus le pouvoir d’achat des français. En conséquence, un acompte de 60% sur le crédit d’impôts de l’année précédente sera versé le 1 er janvier 2019. Pourquoi faire compliqué, quand on aurait pu faire simple, en prenant le taux global de l’année précédente et éviter ainsi tous ses acomptes et prélèvements par rubrique ? Prélèvements qui vont générer des couts, des réclamations, des frais de gestion inutiles ?  Sans mentionner qu’une simple mensualisation sur les comptes bancaires aurait été encore plus simple. Tout à chacun pouvant moduler ses acomptes, depuis toujours.

      • Jackbenoit
        Samedi 8 Septembre 2018 à 09:09

        C'est certain que la mensualisation était le plus simple moyen de passer d'une pratique à l'autre avec des coûts très faibles , n'y aurait-il pas un intérêt quelconque caché la-dessous encore ?

    8
    Samedi 8 Septembre 2018 à 10:04


    L'intérêt est connu : le Trésor public veut se faire de la trésorerie sur le dos des contribuables, en 2019. Il doit payer simultanément le CICE des années précédentes et abaisser les charges des entreprises (remplacement du CICE par un abaissement des charges) .Il faut donc trouver des sous (15 Mds) , sans augmenter les déficits. Comme il n’y a aucune réduction des dépenses publiques, toute décision Macron se traduit par un racket sur les contribuables. Donc une perte de pouvoir d’achat , et une croissance plus faible.

     

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