• Le CAC vu de Nouillorque du 11 janvier_Les marchés et la pénurie

     Le CAC vu de Nouillorque du 11 janvier_Les marchés et la pénurie 

      

      

      

      

      

      

           

    Au sommaire : 

    • La logique des marchés face à la pénurie
    • Clapot sur les marchés sans tendances, en attendant Yellen et les matières premières    

     

    Télécharger « le cac vu de Newyork 2b.pdf »


    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    1
    Goodoff
    Samedi 11 Janvier 2014 à 10:55

    C’est consternant de voir que la zone euro se préoccupe plus de la météo et du chômage américain que de son propre développement, par se propres forces. Bravo pour le didacticiel sur le décalage entre  l’offre, résultat de 20 ans d’investissement, et l’établissement des prix par la demande instantanée. 


    Pendant que les US investissent dans le futur, en assurant leur autonomie énergétique, chaque membre de la zone euro bricole dans son coin : M Bricoland nous supprime une ligne sur la feuille de paie, mais nous en remet aussitôt une nouvelle avec l’imposition de la part patronale sur les mutuelles. Aune vision, aucune stratégie, Aucun investissement dans les services publics. Aucun encouragement à entreprendre.  


    L’avenir de la France est un grand parc de loisir pour retraités. Le seul investissement raisonnable devient les maisons de retraite, ou l’industrie US.

    2
    fesio
    Samedi 11 Janvier 2014 à 13:54
    Passionnant cet éclairage sur la logique de marché sur l'or et le logement.
    En particulier concernant le prix de l'or sur 2013, on se rend compte que sur la période 2012-2013, le delta de la demande des ETFs américains par rapport à 2012 est approximativement de +200-(-600)=+800 tonnes ce qui correspond à une variation de la demande de -17% relativement aux 4500 tonnes de la demande mondiale annuelle stable sur la période.
    Rapporté à un prix approximatif de 1650 dollars sur 2012, cela représenterait (tous les autres paramètres restant fictivement constants par ailleurs sur la période) 280 dollars d'impact uniquement pour l'impact des ventes d'ETFs sur 2012-2013.
    3
    Samedi 11 Janvier 2014 à 14:30

    Eh oui ! les ETFs ont un rôle amplificateur énorme dans les deux sens. Ils pourraient racheter aussi vite qu’ils ont vendu, au moment où les mines vont fermer !  Les fluctuations sur l’or ne sont pas finies.

    4
    Phoebe75
    Samedi 11 Janvier 2014 à 14:36

    Très belle explication sur le décalage temporel entre l’investissement et le retour dont  bénéficient les investisseurs qui risquent leurs propres économies. Prendre le risque d’innover sur de nouveaux produits et services, sans être assuré de réussir, demande a minima de pouvoir  compenser les échecs (deux sur trois). Sinon personne ne le fera. Deux millions d’entrepreneurs individuels ont plus de chance d’identifier le bon investissement sur le bon marché, qu’un seul  homme, fut-il élu par l’ensemble de la population.


    L’ensemble de la population, elle, en bénéficie ensuite par les prix moins chers et une offre de meilleure qualité. Dommage qu’on n’ait pas ce débat : est- il plus efficace d’investir pour baisser les prix  et améliorer la qualité de l’offre ? Ou bien aider directement les plus démunis, dans des marchés de pénurie ?


    Quelques éléments :


    -         Confisquer 60% du bénéfice d’une réussite entraine inévitablement l’exil des entrepreneurs. (Aucun moyen de se refaire)


    -          Dans une économie ouverte, Un tiers de la consommation est acheté à l’étranger, en payant uniquement la TVA (20%)


    -          La moitié des projets d’investissements part en taxe  50% (TVA, charges sociales…) sur un budget plus élevé que la mise initiale


    Il n’y a pas besoin de réfléchir longtemps, pour comprendre que l’Etat reçoit plus de taxes, en encourageant l’investissement, qu’en taxant de manière excessive les investisseurs potentiels

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :